"À travers des pièces telles que L'Arbre des pendus, l'artiste évoque les violences du passé, en mêlant symboles funèbres et récits oubliés. Crâne – zoo humain, Paris 1931 fait directement référence à l’exposition coloniale, dénonçant la déshumanisation des corps exposés. Une œuvre plus énigmatique, Une vraie banane peinte en noir et blanc, joue avec les contrastes, brouillant les frontières entre nature, artifice et critique sociale. Ensemble, ces sculptures composent un langage visuel puissant, mêlant histoire, provocation et poésie."